C'est le plus petit des "rupicoles aux fleurs jaunes" mais ses fleurs sont relativement grandes pour l'espèce. Les pseudobulbes font 2 à 4 centimètres, et pseudobulbe et feuille ne dépassent guère 8 centimètres sauf en culture, si le sujet ne profite pas d'une exposition lumineuse suffisante.
Les fleurs, de 2,5 cm environ,
ont un sépale dorsal et des pétales de 4 x 16 mm. Le label mesure 11 mm de longueur et le lobe médian est légèrement ondulé. La hampe florale produit 2 à 4 fleurs, et parfois 6.

L'espèce fleurie en été dans son milieu naturel, soit entre décembre et février. La couleur des fleurs peut varier de jaune crème à jaune d'or avec la base du label ("le fond de la gorge") nettement orangé ce qui est caractéristique.
L'espèce pousse dans un milieu très pauvre, seuls les lichens l'accompagnent dans les artefacts des affleurements rocheux. La photo (source: greg Allikas) d'un sujet prise dans son milieu naturel illustre la rudesse du biotope auquel l'espèce s'est adaptée et qui explique la morphologie des pseudobulbes (courts) et des feuilles (courtes, épaisses et "coriaces").
L'espèce pousse dans un milieu très pauvre, seuls les lichens l'accompagnent dans les artefacts des affleurements rocheux. La photo (source: greg Allikas) d'un sujet prise dans son milieu naturel illustre la rudesse du biotope auquel l'espèce s'est adaptée et qui explique la morphologie des pseudobulbes (courts) et des feuilles (courtes, épaisses et "coriaces").
Pour connaître ses conditions de culture, se reporter à l'article consacré à l'écologie et la culture des Laelias rupicoles publié en 2007.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire